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Paye ta vie

6 janvier 2006

Pourquoi pas moi?

C'est une question que je me pose souvent...Pourquoi pas moi?

Pourquoi je n'y arriverais pas...à faire ce que je veux de ma vie, à être une créative trop puissante, à être avec lui, à faire ce que j'veux, à partir en Australie et me faire embaucher à Tiger Island, à partir faire le tour du monde en van, à faire un mix de tous les alcool existants au monde et les boire...

Bref,...

La nouvelle Despé "Mas" (au citron vert) est pas mal du tout.

Sinon j'ai été déçue par Pavlov (le journal, un bimenstriel satirique de notre consommation). Je m'attendais à beaucoup mieux de la part d'un journal qui se définit comme tel. Et au final, le contenu est assez faible, et seuls les titres laissaient apparaître un contenu alléchant.

Bientôt les Bronzés 3, hâte de le voir...

Et sinon je lis "Ne le dis à personne" de Harlan Coben, c'est pas mal du tout.

Et M. Lambert (directeur de Publicis) a dit une phrase, je ne m'en rappelle plus exactement mais c'était qqch du genre "le dernier rêve occidental: le paradis terrestre à portée de carte bancaire". J'aime beaucoup. "Je paye, donc je suis." tel pourrait-être la devise de notre dernier siècle.

Ce soir je n'ai pas envie d'abandonner mes rêves, j'ai envie de croire à plein d'trucs. Et pourtant j'ai beaucoup de mal à agir concrêtement en ce sens...

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4 janvier 2006

une journée sans grand intérêt

Voilà une autre journée de passer sur notre chère planète.

Une journée des moins productives. Une de celles qui commence par une sonnerie de réveil à 10h, une autre à 10h05, une autre à 10h10, une autre à 10h15, une autre à 10h20, une autre à 10h25, une autre à 10h30. Puis là on allume la télé, on regarde rien vraiment, on zappe. On se lève à 11h, on va se laver etc, il est midi, on mange. bref, que du passionnant, voilà pourquoi je ne narrerais pas mon après-midi.

Ensuite, à 20h, on part de chez soi. Une copine nous a proposé un ciné. On y va, pas vraiment par envie, mais plutôt pour essayer de se prouver qu'on peut encore se motiver à faire qqch, et aussi pour rentabilisée une carte UGC illimitée non utilisée depuis trop longtemps. On manque de s'endormir dans la file d'attente, et dès les premières images, on se rend compte que le film dont on ne connaissait même pas le titre est en noir et blanc et parle de politique. Et merde, si j'avais su il y avait une "famille formidable" à la TV."Good night...and Good Luck". Et surtout Good Night j'ai envie de dire.  bref, clignements des yeux, changements de position incessants.. cogitations multiples et inutiles sur divers sujets récurrents. On s'en veut à soi-même de ne pas avoir su s'intéresser à qqch qui dans son fond nous plairait vraiment. A la fin du film, les avis semblent mitigés. Pour ma part, je suis sûre que ce film devait être bien, mais pas ce soir.

Ce soir là, l'ambiance de la salle de ciné que j'aime tant d'habitude m'a semblée moins plaisante, et n'a même pas réussi son tour de passe passe habituel, qui consiste à m'échapper pdt 90 minutes minimum.

COmme un robot, je rentre : RER, marche...le trajet qui dure 45 minutes, je ne m'en souviens même pas. Un sourire et quelques mots du gardien, ainsi qu'un mail intéressant me remotivent pour ces qq minutes où j'offre mon cerveau à mes doigts, qui en ont profité pour raconter cela.

Good Night and good Luck

2 janvier 2006

Desesperate Housegirl

"Retour à une vie parisienne, organisée, saine, banale et chiante"

2 janvier...dans les startings bloc de l'ennui parisien.

Il aurait fallu, au minimum 24h post-réveillon, pour gérer la transition Lyon-Paris, vacances-travail, soif de vivre-ennui. Ennui au sens baudelairien je l'entend.

Je recommence à ne plus décrocher mon téléphone, à m'énerver intérieurement de devoir me mettre à droite dans les escalators, à entendre 12004 fois par jour "bonne année" et à devoir supporter pendant plusieurs heures de suite des personnes justement insupportables.

Sinon je viens de matter Festen, et ça fait lgtps que j'ai pas prononcé cette expression, mais là je n'ai que 2 mots à dire: "pas violent". Comme quoi, on a beau se plaindre de sa famille, des repas de famille (de ceux qu'on fait ou au contraire de ceux qu'on a jamais fait) et ben merde ce film met une bonne claque. réalisation chiante au début, mais en fait spéciale à souhait.

Je trouve l'expression "soif de vivre" particulièrement belle. Heureux comme celui qui boit.

Si Dieu ou quelqu'un d'autre de supérieur entend ma requête, il serait sympathique de faire marcher mon lecteur de DVD pour que je puisse m'enchaîner tous les épisodes de six feet under, série extrêmement géniale.

Et pour finir ce discours plaintif, il(s) me manque(nt).

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Paye ta vie
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